Pour la libération immédiate de Mathias Depardon

Ambassade de Turquie Monsieur Ismaël Hakki Musa 16, Avenue de Lamballe 75016 Paris Lettre ouverte à Monsieur l’Ambassadeur, Le 8 mai 2017, notre collègue Mathias Depardon, reporter photographe était arrêté à Hasankeyf, en Turquie, lors de la réalisation d’un reportage. Installé depuis cinq ans à Istanbul, il collabore avec des médias occidentaux tels que L’Obs, Le Monde, The New York Times ou encore le magazine National Geographic. Les syndicats français de journalistes (SNJ, SNJ-CGT, CFDT-Journalistes), membres de la Fédération internationale des journalistes (FIJ), première organisation mondiale de la profession, et de son groupe régional européen (FEJ), ont appris avec consternation…

FIJ et FEJ solidaires avec les travailleurs de “La Voix du Nord”

Les Fédérations internationale et européenne des journalistes condamnent fermement le plan de restructuration présenté par la direction du quotidien “La Voix du Nord”, mardi, lors d’un comité d’entreprise extraordinaire, à Lille. Le groupe belge Rossel, propriétaire du titre, entend supprimer 178 postes, dont 72 emplois de journalistes, au sein du quotidien régional du Nord. La FIJ et la FEJ soutiennent leurs affiliés français, le SNJ, le SNJ-CGT et la CFDT-Journalistes, face à cette liquidation “préventive” d’un quart des effectifs, dans une entreprise qui a dégagé en 2015 cinq millions d’euros de marge bénéficiaire. La FIJ et la FEJ apportent tout leur soutien…

Les deux journalistes de Cumhuriyet libérés

Avec les fédérations européennes et internationales des journalistes (FEJ-FIJ) dont ils sont membres, les syndicats de journalistes français, SNJ, SNJ-CGT et CFDT- Journalistes, se félicitent vivement de la libération ce jour de nos confrères turcs, Can Dündar, rédacteur en chef du quotidien d’opposition Cumhuriyet et Erdem Gül, son chef de bureau à Ankara. Ils étaient détenus dans des conditions très strictes depuis le 26 novembre à la prison de Silivri à la périphérie d’Istanbul. La Cour constitutionnelle turque avait ordonné la veille leur libération après avoir dénoncé la violation de leurs droits fondamentaux. Leur tort ? Avoir révélé en mai…